le 28 décembre 1931
Monsieur le Ministre
Pour ce qui est de ma famille, il s’agit de ma femme, qui a au moins autant besoin que moi de cette cure, ce qui peut, le cas échéant, être attesté par des certificats médicaux. J’envisageais également, pour des raisons de sécurité, d’appeler auprès de moi, pour les deux mois en question, mon fils, qui vit actuellement à Berlin, comme étudiant à l’université technique. Ce sont les seuls membres de ma famille qui entreraient en ligne de compte.
Permettez moi, très honoré Docteur Czech, de vous exprimer une profonde reconnaissance pour vos efforts et toute ma considération.